Pourquoi parler de neurodiversité dès l’enfance ?

Il n’y a pas d’âge pour commencer à parler de ce que veut dire « être différent ». Les enfants, même très jeunes, remarquent vite ce qui sort de l’ordinaire : un camarade qui ne parle pas, un autre qui évite les regards, ou encore un enfant qui bouge tout le temps. Ces comportements peuvent les étonner, les intriguer, parfois même les inquiéter. Et si on ne leur donne pas les bons mots, ils risquent de mal comprendre.

C’est là que la neurodiversité entre en jeu. Ce mot un peu compliqué désigne une réalité simple : tous les cerveaux ne fonctionnent pas pareil. Certains enfants sont très sensibles aux bruits, d’autres ont du mal à rester assis, ou à comprendre les règles sociales. Ce ne sont pas des caprices ni des défauts. Ce sont des manières différentes d’être au monde.

En en parlant tôt avec les enfants, on les aide à poser un regard plus juste sur ce qui les entoure. On leur apprend que la différence ne fait pas peur — elle se comprend, elle s’accueille, elle se respecte. Et surtout, on leur donne des clés pour reconnaître l’autre sans le juger.

Parce que c’est là que tout commence : dans la cour de récré, autour d’un jeu, à un goûter d’anniversaire. C’est dans ces moments simples que l’inclusion prend racine. Pas dans les discours officiels, mais dans le quotidien. En expliquant la neurodiversité, on prépare un terrain où chaque enfant pourra être lui-même, sans avoir à se cacher.


Pourquoi c’est encore si difficile d’en parler à l’école, à la maison, dans la société ?

Même si le mot « neurodiversité » circule de plus en plus, il reste mal compris. Beaucoup de familles et d’écoles manquent encore de repères concrets pour en parler simplement. À l’école, par exemple, de nombreux enseignants aimeraient faire mieux, mais ils n’ont pas été formés pour. Les troubles du neurodéveloppement — comme l’autisme, le TDAH ou la dyslexie — sont souvent survolés pendant leur formation initiale. Ceux qui veulent approfondir doivent se former seuls, sur leur temps personnel, sans accompagnement institutionnel solide.

Quant aux AESH, qui sont parfois les seules personnes à connaître vraiment les besoins d’un enfant atypique, elles sont trop peu nombreuses, mal payées et rarement intégrées à l’équipe éducative de façon durable. Résultat : l’inclusion repose souvent sur des efforts individuels isolés, au lieu d’une culture partagée.

À la maison, ce n’est pas plus simple. Beaucoup de parents d’enfants neurotypiques sont déconcertés face à certains comportements : un enfant qui crie pour un bruit, qui reste à l’écart, ou qui s’exprime de manière inhabituelle. Faute de mots justes ou de ressources accessibles, ces réactions atypiques peuvent être mal interprétées. Parfois, cela mène à des jugements hâtifs, voire à de l’exclusion involontaire.

Enfin, dans la société en général, la neurodiversité reste invisible. Elle ne correspond pas à l’image classique du handicap. Elle demande un effort de compréhension, de nuance, de patience. Elle dérange une vision encore dominante de « l’enfant modèle » : calme, performant, adaptable. Et ce qui dérange, souvent, on préfère l’éviter.

Mais ce qu’on évite, on ne comprend pas. Ce qu’on ne comprend pas, on juge. D’où l’importance de créer des ponts. Et cela commence par les mots que l’on choisit pour parler aux enfants — à l’école comme à la maison.


Neurodiversité : comment l’expliquer simplement à un enfant typique ?

Quand un enfant voit qu’un autre agit différemment, il le remarque immédiatement. Ce n’est pas du rejet, juste de la curiosité. Et c’est justement une occasion précieuse : celle de transformer cette curiosité en compréhension.

Pour parler de neurodiversité à un enfant, mieux vaut partir de ce qu’il connaît déjà. Tu peux lui dire, par exemple : « Tu sais, il y a des gens qui voient mal et portent des lunettes. Eh bien, il y a aussi des personnes dont le cerveau fonctionne autrement. Ça s’appelle la neurodiversité. » On peut ensuite illustrer avec des situations concrètes :
– « Certains enfants n’aiment pas le bruit. »
– « D’autres ont besoin de bouger souvent, même quand tout le monde est assis. »
– « Certains comprennent plein de choses, mais ont du mal à les dire. »

Il ne s’agit pas de faire un cours sur l’autisme ou le TDAH, mais de proposer une lecture différente du comportement : ni caprice, ni désobéissance, simplement un autre mode de fonctionnement.

Ce qui aide aussi, ce sont les métaphores : « C’est comme si on avait tous des ordinateurs avec des logiciels différents. Ils ne vont pas à la même vitesse, mais chacun est utile. »

L’important, c’est d’ouvrir un dialogue. On peut poser des questions : « Et toi, qu’est-ce qui te gêne parfois ? », « Tu as déjà remarqué que ton copain réagit différemment quand il y a du bruit ? » Ces échanges permettent à l’enfant de se connecter à l’autre par l’empathie.

Enfin, il faut rappeler une chose simple : être différent, ce n’est pas être moins. C’est juste une autre façon d’être au monde. Et dans une classe, dans une famille, c’est la diversité des enfants qui fait la richesse de la relation.ne façon d’être. Et que dans une classe ou une famille, chacun peut apprendre des autres.


Les erreurs fréquentes quand on veut parler de différence (et comment les éviter)

Quand on veut bien faire, on peut parfois mal s’y prendre. C’est normal : parler de différence à un enfant n’est pas toujours évident, surtout quand on veut éviter les maladresses. Mais certains réflexes sont fréquents… et heureusement, faciles à corriger.

La première erreur, c’est de vouloir absolument rassurer en disant que « tout le monde est pareil ». Ce message part d’une bonne intention, mais il gomme la réalité. Dire à un enfant que « son copain autiste est comme lui » peut le troubler : il voit bien que ce n’est pas le cas. Plutôt que de nier la différence, on peut la reconnaître : « Oui, il agit différemment, et c’est OK. Chacun a son fonctionnement. »

Deuxième piège : réduire la neurodiversité à des difficultés. Dire par exemple « Léa est autiste, donc elle ne parle pas » crée une image figée, incomplète. On peut plutôt expliquer : « Léa est autiste. Elle ne parle pas avec sa bouche, mais elle comprend beaucoup de choses et communique autrement. »

Troisième erreur fréquente : culpabiliser l’enfant. S’il a ri, posé une question maladroite ou montré de l’incompréhension, ce n’est pas forcément un manque de respect. C’est souvent un manque d’information. Il vaut mieux dire : « C’est normal de ne pas tout comprendre tout de suite. On va en parler ensemble. »

Enfin, attention aux phrases toutes faites du type « C’est un enfant spécial » ou « Il faut être gentil avec lui ». Ce genre de formules place l’enfant atypique à part, au lieu de l’inclure. L’inclusion ne passe ni par la pitié, ni par les étiquettes. Elle naît de la connaissance, du lien, du dialogue.


Des outils pour aider les parents, les enseignants, les éducateurs

Quand on veut expliquer la neurodiversité à un enfant, il est précieux d’avoir des outils adaptés. Des livres, des vidéos, des supports pédagogiques bien pensés peuvent vraiment faire la différence. Ils permettent de poser les bons mots, d’ouvrir une discussion, de montrer que la différence n’est ni étrange, ni inquiétante — juste différente.

Pour les jeunes enfants, les albums jeunesse illustrés sont un excellent point d’entrée. Ils permettent d’aborder des sujets comme l’autisme, le TDAH ou la différence en général à travers des personnages attachants. Les enfants peuvent s’identifier aux héros ou reconnaître des attitudes qu’ils ont déjà vues à l’école ou dans la fratrie.

Du côté des adultes, il existe aussi des ressources pour mieux accompagner les discussions. Des blogs, des podcasts, des capsules vidéo expliquent les notions de manière claire, souvent avec humour et pédagogie. Ces supports sont utiles autant pour les parents que pour les enseignants, les AESH ou les animateurs de centres de loisirs.

Côté formation, plusieurs plateformes proposent aujourd’hui des modules d’initiation à l’école inclusive et aux troubles neurodéveloppementaux. Ces formations, souvent gratuites, permettent de mieux comprendre ce que vit un enfant atypique dans un environnement ordinaire, et d’ajuster ses pratiques.

Enfin, de plus en plus d’écoles, de bibliothèques ou d’associations s’équipent de pictogrammes, cartes émotions ou jeux coopératifs, pour aider les enfants à exprimer ce qu’ils ressentent et à décoder le comportement des autres.

Ces outils ne remplacent jamais l’échange humain, mais ils le rendent plus facile. Ils soutiennent les mots quand on ne sait pas trop comment les choisir. Et ils permettent à chacun — enfant ou adulte — de faire un petit pas vers l’autre.


Comment encourager une vraie culture de l’inclusion

Parler de neurodiversité, c’est un premier pas. Mais pour que cela ait un vrai impact, il faut que les paroles se traduisent en actes. L’inclusion ne se décrète pas : elle se construit chaque jour, dans les détails, les choix, les gestes simples. Et surtout, elle concerne tout le monde.

À l’école, par exemple, inclure un enfant atypique ne signifie pas « faire une exception ». Cela suppose de repenser certaines règles ou habitudes pour que tous puissent participer. Ce peut être laisser un enfant porter un casque anti-bruit, proposer des temps calmes, ou aménager une consigne différemment. L’inclusion n’est pas une faveur : c’est une manière d’accueillir chaque élève tel qu’il est.

Mais pour que cela fonctionne, il faut que toute l’équipe soit impliquée : enseignants, direction, AESH, personnel périscolaire. Trop souvent, l’enfant différent repose sur les épaules d’une seule personne. Quand toute la communauté éducative partage une même culture de l’accueil, les enfants s’adaptent naturellement. Ils comprennent vite que chacun a sa place.

À la maison aussi, on peut semer cette culture. Cela passe par des choses toutes simples : inviter un enfant atypique à un anniversaire, expliquer à son propre enfant pourquoi l’autre a besoin de plus de temps ou de calme, éviter les phrases du type « il est bizarre ». Les enfants écoutent ce qu’on dit, mais ils observent surtout ce qu’on fait.

Enfin, l’inclusion doit aussi être portée par les institutions : formations de qualité, soutien aux équipes, accès facilité aux outils. Une société inclusive ne demande pas aux enfants atypiques de s’adapter en permanence. Elle cherche au contraire à faire de la place pour toutes les manières d’apprendre, de jouer, d’exister.


Notre sélection de ressources utiles (à lire, à voir, à partager)

Tu veux approfondir ce que tu as lu ? Trouver des supports adaptés à ton enfant, à ta classe ou à ton équipe éducative ? Voici une sélection de pistes pour t’aider à mieux expliquer, accompagner et inclure la neurodiversité dans ton quotidien.

Pour les enfants (dès 3 ans) :
Les albums jeunesse sont de merveilleux outils pour parler de différence. Ils racontent avec douceur des histoires d’amitié, de sensibilité ou de fonctionnement atypique. L’enfant peut s’y retrouver, reconnaître un camarade ou simplement s’ouvrir à d’autres façons d’être.

Pour les parents :
Il existe de nombreux ouvrages et témoignages qui permettent de mieux comprendre ce que vit un enfant neuroatypique. Certains expliquent les bases des troubles du neurodéveloppement, d’autres donnent des idées concrètes pour créer le dialogue à la maison, sans pression.

Pour les enseignants, AESH, animateurs :
Des ressources pédagogiques gratuites sont disponibles en ligne. Des plateformes comme INSHEA, Canopé : Le réseau de formation des enseignants ou encore Deux-minutes-pour.org proposent des fiches, vidéos et formations sur l’école inclusive et les besoins spécifiques. Ces outils peuvent accompagner les équipes dans leur démarche, en partant de la réalité du terrain.

Pour tous :
Des supports visuels comme les cartes émotions, les pictogrammes ou les histoires sociales peuvent grandement aider à rendre la communication plus fluide. Ce sont des outils simples, mais puissants, pour construire un langage commun entre enfants.

Tu n’as pas besoin d’avoir tout lu ou tout compris pour commencer. Parfois, un seul livre, une vidéo bien choisie, ou une discussion sincère avec un enfant suffit à transformer un regard. Et ce regard, c’est souvent ce qui fait toute la différence.


Deux-minutes-pour.org : une pépite à découvrir pour mieux comprendre (et faire comprendre)

Quand on cherche à expliquer la neurodiversité sans tomber dans les clichés ni dans le jargon, le site Deux-minutes-pour.org est une pépite. Créé par des professionnels du terrain, ce projet propose des vidéos courtes, claires et accessibles à tous, pour mieux comprendre les comportements liés aux troubles neurodéveloppementaux.

Chaque vidéo dure moins de deux minutes, mais suffit à changer un regard, ou à ouvrir une discussion avec un enfant, un parent, ou un enseignant. Voici quelques exemples concrets à découvrir :

  • Faciliter la compréhension des consignes
    Cette capsule met en scène Sofia, une enfant autiste qui ne comprend pas toujours ce qu’on attend d’elle. Elle montre comment reformuler, visualiser ou fractionner une consigne peut éviter frustration et échec.
  • Le TDAH expliqué aux enfants
    Une vidéo simple et pédagogique pour comprendre ce qu’est le TDAH : pourquoi un enfant peut bouger tout le temps, zapper les consignes, ou sembler dans la lune… sans que ce soit de la provocation.
  • Aménager la classe de Sam
    Comment faire de petits ajustements (moins de bruit, un coin calme, des repères visuels) pour aider un enfant à mieux vivre l’école, sans chambouler tout le groupe.

Ces vidéos sont idéales pour les enseignants, AESH, parents, fratries, et même pour les enfants eux-mêmes (à partir de 8-9 ans). Elles peuvent être montrées en classe, en réunion, ou à la maison — pour désamorcer les malentendus ou poser des bases d’empathie.

Claires, bienveillantes, drôles parfois, ces capsules sont une excellente porte d’entrée vers l’inclusion. À garder en favoris… et à partager sans modération.

Comprendre la neurodiversité commence souvent par une vidéo, un livre ou une discussion… Mais ce sont les petits gestes de chaque jour, les regards bienveillants et les mots choisis qui ouvrent vraiment le chemin de l’inclusion.


Cultiver l’empathie, c’est déjà semer l’inclusion

Parler de neurodiversité à un enfant, ce n’est pas faire un exposé. C’est offrir une autre manière de voir l’autre, de comprendre ce qui ne nous ressemble pas. C’est aussi apprendre à poser des questions au lieu de juger, à accueillir au lieu de s’éloigner.

On n’a pas besoin de tout savoir pour faire avancer l’inclusion. Un mot juste, un livre partagé, une question bienveillante peuvent suffire à faire naître un changement durable. Et ce changement commence souvent par ce qu’on transmet à nos enfants : une façon de regarder, d’écouter, de respecter.

Les enfants apprennent vite. Ils apprennent ce qu’on leur explique… mais aussi ce qu’on leur montre. Ils écoutent nos mots, mais ils observent surtout nos actes. Leur montrer que chaque différence est une richesse, c’est leur donner des outils pour bâtir une société plus humaine.

Alors oui, ça demande un peu de temps, un peu d’effort, parfois quelques maladresses. Mais ça en vaut la peine. Parce qu’un enfant qui comprend, c’est un enfant qui inclut. Et un enfant qui inclut, c’est déjà un citoyen capable de faire bouger le monde.


FAQ – Les questions fréquentes des parents et éducateurs

À partir de quel âge peut-on parler de neurodiversité à un enfant ?
Dès 3 ou 4 ans. À cet âge, les enfants remarquent déjà que certains agissent autrement. Ils n’ont pas besoin de définitions compliquées, mais d’exemples concrets et de mots simples. On peut dire : « Il réagit comme ça parce que son cerveau fonctionne un peu différemment, et c’est OK. »

Faut-il utiliser des mots comme “autiste” ou “TDAH” ?
Pas obligatoirement. Si l’enfant pose la question, on peut répondre en douceur, sans détour : « Oui, il est autiste. Cela veut dire que son cerveau a une autre façon de fonctionner. » Mais ce qui compte, c’est l’explication derrière le mot, pas le mot en soi.

Et si mon enfant fait une remarque maladroite ?
C’est fréquent, et ce n’est pas un problème. L’important, c’est de transformer cette maladresse en moment d’apprentissage. Plutôt que de gronder, on peut dire : « C’est normal de ne pas tout comprendre. Ce que tu dis peut blesser, mais je vais t’expliquer. »

Je ne sais pas comment répondre à certaines questions. Que faire ?
Pas besoin d’être spécialiste. Tu peux dire simplement : « Je ne sais pas tout, mais on peut chercher ensemble. » Un livre, une vidéo, un témoignage peuvent t’aider à trouver les bons mots. Ce qui compte, c’est l’ouverture au dialogue, pas la perfection.

Est-ce qu’un enfant typique peut vraiment comprendre ces sujets ?
Oui, si on les lui explique avec sincérité et des exemples adaptés à son âge. Les enfants sont souvent bien plus ouverts et réceptifs qu’on ne l’imagine. Ils posent des questions directes, mais accueillent les réponses sans filtre, ni jugement.


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Livres pour expliquer la neurodiversité aux enfants

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  2. La Zébrelle part à la découverte de la neurodiversité Une histoire illustrée qui aide les enfants à comprendre et accepter la neurodiversité à travers les aventures d’une zébrelle et de ses amis.
  3. Le Petit Guide illustré du TDAH : Enfin Comprendre Comment Je fonctionne ! Un guide illustré destiné aux enfants pour les aider à comprendre le TDAH et à mieux vivre avec au quotidien.

👩‍🏫 Ressources pour parents et éducateurs

  1. NeuroTribus. Autisme : Plaidoyer pour la Neurodiversité Un ouvrage qui explore l’histoire de l’autisme et plaide pour une meilleure compréhension et acceptation de la neurodiversité.
  2. Pédagogie de l’inclusion scolaire (3e Édition) Un livre qui propose des stratégies pédagogiques pour favoriser l’inclusion des élèves à besoins éducatifs particuliers.
  3. Le Guide de l’inclusion Scolaire : répondre aux besoins de tous les élèves du primaire Un guide pratique pour les enseignants du primaire souhaitant adapter leur enseignement à la diversité des élèves.