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Introduction : Maman, pourquoi tu grignotes ?
Vous arrive-t-il de finir un paquet de gâteaux sans même vous en rendre compte ? De vous sentir fatiguée dès le réveil, avec une envie de sucre qui revient toutes les deux heures ? Si vous êtes maman – et encore plus si vous avez un enfant en situation de handicap – ces moments sont peut-être devenus votre quotidien. Entre le stress, les nuits hachées, les repas avalés en vitesse et la charge mentale, votre corps finit par réclamer du réconfort… souvent sous forme de nourriture rapide et sucrée.
Mais ce que peu de femmes savent, c’est qu’une hormone pourrait bien être derrière tout ça : la leptine. Elle agit comme une sorte de régulateur de la faim. Quand elle fonctionne bien, elle vous dit « stop, tu as assez mangé ». Mais quand elle est perturbée, ce signal ne passe plus. Résultat : fringales, grignotage, stockage de graisses, fatigue… le cercle vicieux est lancé.
Dans cet article, vous allez découvrir comment fonctionne la leptine, pourquoi elle se dérègle chez tant de mamans, et surtout comment la réactiver naturellement pour reprendre soin de vous, sans culpabilité ni régime extrême.
1. La leptine : l’hormone qui calme votre faim
La leptine est une hormone produite naturellement par les cellules graisseuses de notre corps. Son rôle principal ? Informer votre cerveau que vous avez assez mangé. On l’appelle souvent “l’hormone de la satiété”, car elle agit comme un messager entre vos réserves de graisse et votre cerveau. Lorsque tout fonctionne correctement, plus vous avez de graisse stockée, plus vous produisez de leptine… et moins vous ressentez la faim.
Mais ce mécanisme, pourtant simple, peut facilement se dérégler. Et c’est là que les problèmes commencent. Car si le cerveau n’entend plus le message envoyé par la leptine, il pense que vous êtes en mode famine, même si vous avez suffisamment mangé. Résultat : vous avez constamment faim, vous grignotez, et votre corps stocke encore plus de graisses pour “survivre”. C’est ce qu’on appelle la résistance à la leptine.
Ce déséquilibre est fréquent chez les personnes qui :
- dorment mal ou pas assez
- consomment beaucoup de produits transformés
- vivent du stress chronique
- ont une vie sédentaire
- suivent des régimes à répétition
La bonne nouvelle ? Ce dérèglement n’est pas irréversible. En changeant certains aspects de votre mode de vie et de votre alimentation, il est tout à fait possible d’améliorer la sensibilité de votre cerveau à la leptine.
Comprendre cette hormone est donc une première étape clé pour reprendre le contrôle de votre alimentation, sans vous battre contre votre corps. C’est aussi un vrai soulagement pour de nombreuses mamans qui se sentent “faibles” face à leurs envies : ce n’est pas un manque de volonté, c’est un signal biochimique brouillé.
2. Quand la leptine se dérègle : les raisons qui vous échappent
Vous avez l’impression de manger « normalement », mais vous prenez du poids. Vous avez toujours faim, surtout le soir. Vous vous sentez fatiguée, irritable, et vos tentatives de “mieux manger” ne tiennent jamais plus de quelques jours ? Ce n’est pas dans votre tête. C’est peut-être votre leptine qui ne fait plus son travail.
On parle alors de résistance à la leptine. Cela signifie que votre cerveau n’interprète plus correctement les signaux envoyés par cette hormone, même si vos cellules graisseuses en produisent encore. Il croit que vous avez faim, alors que ce n’est pas le cas. Du coup, il vous pousse à manger davantage… et à stocker.
Voici les principales causes de ce dérèglement :
1. Une alimentation ultra-transformée
Les produits riches en sucres raffinés, en additifs et en mauvaises graisses (viennoiseries, sodas, fast-food…) brouillent les signaux hormonaux. Ils déclenchent une inflammation chronique qui perturbe le fonctionnement de la leptine.
2. Le manque de sommeil
Dormir moins de 6 heures par nuit augmente la ghréline (hormone de la faim) et diminue l’efficacité de la leptine. Vous avez donc plus faim et plus de mal à vous sentir rassasiée.
3. Le stress chronique
Un stress constant élève le taux de cortisol dans le sang. Ce dernier bloque la bonne communication entre la leptine et le cerveau. Le corps reste en “mode survie” et stocke davantage de graisses.
4. Les régimes yo-yo
À force d’alterner entre restrictions et craquages, le corps devient confus. Il finit par ignorer les signaux de satiété et se met à stocker par anticipation.
5. Le manque d’activité physique
Bouger active naturellement les récepteurs à la leptine. La sédentarité, très fréquente chez les mamans débordées, aggrave la résistance à cette hormone.
Ce qu’il faut retenir : ce n’est pas votre faute. La leptine ne se dérègle pas parce que vous êtes « trop gourmande », mais parce que votre environnement, votre rythme et votre quotidien l’empêchent de fonctionner correctement.

3. Pourquoi les mamans sont particulièrement touchées
Être maman, c’est beau, mais c’est aussi éprouvant physiquement et mentalement. Et cette réalité a un impact direct sur votre corps, vos hormones… et donc votre leptine.
Beaucoup de femmes prennent du poids après une grossesse, ou en deviennent incapables d’en perdre. Mais ce n’est pas simplement dû à un “manque de sport” ou de “motivation”. C’est un cocktail d’émotions, de stress, de fatigue chronique… qui dérègle tout le système hormonal.
1. La charge mentale permanente
Organiser la vie de la famille, penser à tout, tout le temps, sans pause : c’est le quotidien de nombreuses mamans. Ce stress constant augmente le cortisol, l’hormone du stress. Et un cortisol élevé bloque le bon fonctionnement de la leptine. Résultat : plus de fringales, plus de stockage, plus de fatigue.
2. Les nuits entrecoupées
Les mamans dorment souvent mal, surtout avec de jeunes enfants ou un enfant en situation de handicap. Or, un manque de sommeil diminue l’efficacité de la leptine et augmente la ghréline, l’hormone qui stimule l’appétit. Vous vous réveillez fatiguée… et affamée.
3. Le grignotage émotionnel
Quand on est épuisée, débordée, ou qu’on n’a pas pris de vrai repas à midi, on compense. Ce grignotage automatique – souvent sucré ou salé – nourrit l’inflammation dans le corps et désactive peu à peu la leptine.
4. Le manque de temps pour soi
Quand on court partout, on n’a pas toujours le temps de cuisiner sainement, ni de faire de l’activité physique. Or, c’est justement ce dont le corps a besoin pour que la leptine fonctionne. À long terme, ce déséquilibre aggrave la prise de poids et la sensation d’impuissance.
5. L’épuisement parental
Les mamans d’enfants en situation de handicap, encore plus exposées au stress et à la fatigue chronique, sont à haut risque de dérèglement hormonal. Et souvent, elles s’oublient complètement.
Conclusion de cette section :
Ce n’est pas un manque de volonté. Ce sont des conditions de vie épuisantes qui déséquilibrent vos hormones. Comprendre cela permet de sortir de la culpabilité et de se concentrer sur des actions concrètes et bienveillantes.
4. Les signes d’un déséquilibre de la leptine
Comment savoir si votre leptine ne fonctionne plus correctement ? Même sans test médical, certains signes physiques et comportementaux peuvent vous mettre sur la piste. Ils sont souvent subtils, mais ensemble, ils dressent un tableau très clair.
Voici les symptômes les plus fréquents d’un déséquilibre ou d’une résistance à la leptine :
1. Fringales régulières, surtout le soir
Vous mangez normalement la journée, mais le soir, impossible de résister à une envie de sucre ou de sel ? Ce grignotage nocturne est un grand classique quand la leptine est déréglée. Le cerveau ne reçoit pas le message de satiété.
2. Prise de poids malgré des efforts
Vous avez fait attention à votre alimentation, peut-être même réduit vos portions… mais vous continuez à prendre du poids, en particulier autour du ventre ? C’est un signe que votre corps stocke au lieu de brûler. La leptine n’est plus écoutée.
3. Fatigue persistante
Même après une nuit complète, vous vous sentez sans énergie. La leptine joue aussi un rôle dans la régulation de l’énergie. Quand elle est déséquilibrée, votre corps est “en alerte”, épuisé.
4. Difficulté à perdre du poids
Vous faites du sport, vous mangez équilibré… et pourtant, rien ne change ? Une résistance à la leptine peut rendre la perte de poids très lente, voire bloquée.
5. Envies compulsives de sucre ou de gras
Ces envies ne sont pas juste émotionnelles : elles peuvent être hormonales. Le cerveau envoie des signaux de “manque”, car il ne comprend pas que vous avez déjà assez mangé.
6. Sommeil perturbé
Le dérèglement de la leptine peut désorganiser votre horloge biologique. Résultat : insomnies, réveils nocturnes, sommeil non réparateur.
À retenir :
Ces signes ne doivent pas être ignorés. Ils sont le langage de votre corps. Écouter ces signaux est la première étape vers une transformation douce, durable, et adaptée à votre quotidien de maman.
5. Les aliments qui soutiennent votre leptine
La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez réactiver naturellement votre leptine à travers votre alimentation. Il ne s’agit pas de faire un régime, ni de tout révolutionner, mais simplement d’apporter à votre corps ce dont il a besoin pour fonctionner correctement.
Voici les meilleurs alliés de votre leptine :
1. Les aliments riches en protéines
Les protéines aident à réguler l’appétit, stabilisent la glycémie et améliorent la sensibilité à la leptine. Elles ralentissent aussi la digestion, ce qui favorise la satiété.
Exemples : œufs, poissons, viandes maigres, yaourts nature, lentilles, pois chiches, tofu.
2. Les fibres
Les fibres ralentissent la digestion, nourrissent le microbiote intestinal (qui joue un rôle dans les hormones), et favorisent une meilleure régulation de la satiété.
Exemples : légumes verts, légumineuses, graines de chia, pommes, flocons d’avoine, fruits rouges.
3. Les oméga-3
Ces acides gras essentiels réduisent l’inflammation et aident la leptine à mieux communiquer avec le cerveau.
Exemples : saumon, sardines, maquereaux, huile de colza, noix, graines de lin.
4. Les aliments à index glycémique bas
Ils évitent les pics de sucre dans le sang, qui perturbent la leptine et favorisent le stockage des graisses.
Exemples : patates douces, quinoa, riz complet, légumineuses, fruits entiers (et non en jus !).
5. L’eau
Oui, tout simplement. Une bonne hydratation favorise le bon fonctionnement du métabolisme, et parfois, la sensation de faim est en réalité… une soif mal interprétée.
Petit conseil pratique :
Essayez d’intégrer au moins une source de protéine, une de fibre, et une bonne graisse à chaque repas. Cela équilibre naturellement votre leptine sans que vous ayez besoin de peser quoi que ce soit.

6. Les saboteurs silencieux : sucre, stress, écrans
Même si vous mangez relativement bien, certains facteurs invisibles ou sous-estimés peuvent littéralement saboter vos efforts. Ils agissent en silence, perturbent vos hormones… et bloquent le fonctionnement de la leptine.
Voici les trois ennemis les plus courants de votre satiété :
1. Le sucre raffiné
C’est le saboteur numéro un. Consommé en excès, le sucre provoque des pics de glucose, suivis de chutes brutales qui relancent l’appétit. Cela entretient une boucle infernale : plus vous mangez sucré, plus vous avez faim… et plus votre leptine devient inefficace.
Exemples d’aliments à limiter : sodas, bonbons, céréales sucrées, biscuits, jus industriels, produits allégés (souvent très sucrés pour compenser).
2. Le stress chronique
Lorsque vous êtes stressée, votre corps libère du cortisol, l’hormone du stress. Ce cortisol, en excès, désactive les récepteurs de la leptine. Résultat : vous avez faim même après un bon repas. En plus, le stress pousse souvent à grignoter par besoin de réconfort, sans faim réelle.
Ce qui augmente le stress chez les mamans : charge mentale, absence de pauses, surstimulation digitale, isolement, manque de sommeil.
3. Les écrans et le multitâche
Manger devant un écran (télé, téléphone, ordinateur…) diminue l’attention portée au repas. Le cerveau ne reçoit pas le message de satiété et continue de croire que vous n’avez pas mangé. Résultat : vous mangez plus, plus vite, et vous avez encore faim une heure plus tard.
Le multitâche (manger en travaillant, tout en surveillant les enfants, etc.) a un effet similaire : vous êtes physiquement rassasiée, mais mentalement insatisfaite.
Conclusion de cette section :
Ce ne sont pas seulement les calories qui comptent. Votre environnement émotionnel et sensoriel influence fortement vos hormones. En réduisant un peu le sucre, en prenant des respirations conscientes et en mangeant sans distractions, vous pouvez déjà aider votre leptine à se réveiller.
7. 7 astuces simples pour booster naturellement votre leptine
Pas besoin de tout changer du jour au lendemain. Quelques ajustements bien ciblés peuvent réactiver votre leptine, sans stress ni privation. Ces astuces sont pensées pour les mamans débordées, qui veulent retrouver énergie et équilibre… à leur rythme.
1. Dormez (même un peu mieux)
Essayez de viser au moins 7 heures de sommeil, même fractionnées. Le manque de sommeil fait chuter la leptine et augmente la ghréline (la faim). Une sieste, un coucher plus tôt, ou des micro-siestes peuvent vraiment faire la différence.
2. Bougez chaque jour, même 10 minutes
Pas besoin de salle de sport. Une marche rapide, un peu de danse dans le salon, du ménage énergique… le mouvement relance la leptine et réduit la résistance à l’insuline. L’essentiel, c’est la régularité.
3. Évitez de grignoter constamment
Laissez à votre corps le temps de digérer. Des repas espacés d’au moins 4 heures permettent à la leptine de mieux faire son travail. Si vous mangez toutes les deux heures, elle n’a plus de rythme.
4. Prenez un petit déjeuner riche en protéines
Oubliez les tartines-beurre-confiture. Un petit déjeuner protéiné stabilise la leptine dès le matin et vous évite le coup de fatigue de 11h.
Exemples : œufs, yaourt nature + graines, smoothie protéiné, flocons d’avoine + noix.
5. Respirez pour calmer le cortisol
Un exercice simple : inspirez 4 secondes, bloquez 4 secondes, expirez 6 secondes. Répétez 3 fois. En 1 minute, vous réduisez le stress… et donc la résistance à la leptine.
6. Buvez de l’eau entre les repas
Souvent, ce qu’on prend pour de la faim est en réalité une légère déshydratation. Buvez régulièrement, surtout entre les repas, pour faciliter le travail de vos hormones.
7. Prenez vos repas sans distraction
Posez le téléphone. Éteignez la télé. Même si le repas dure 10 minutes, manger en pleine conscience augmente l’effet de satiété et réactive la leptine. Vous mangerez moins… sans frustration.
À retenir :
Ce sont des petits gestes du quotidien, mais ils ont un grand impact sur votre équilibre hormonal. Et surtout, ils sont faisables même quand on est maman, fatiguée et surchargée.
8. Une journée type pour soutenir votre leptine (et votre énergie !)
Pas besoin de suivre un programme compliqué pour aider votre leptine à revenir dans l’équilibre. Voici une journée type, pensée pour les mamans pressées, réaliste, douce… mais efficace. L’idée est d’offrir à votre corps des signaux clairs : “tu peux te reposer, tu n’as pas besoin de stocker”.
Au réveil :
- Buvez un grand verre d’eau tiède avec un filet de citron pour réhydrater et réveiller le système digestif.
- Étirez-vous 5 minutes pour relancer la circulation et stimuler l’énergie.
- Si possible, exposez-vous à la lumière naturelle, même 5 minutes à la fenêtre. Cela régule votre horloge biologique.
Petit déjeuner (riche en protéines et fibres) :
- Exemples : 2 œufs + une tranche de pain complet + avocat
ou - Flocons d’avoine + graines de chia + fruits rouges + yaourt nature
Ce type de repas évite le pic de sucre, favorise la satiété et prépare une bonne gestion de l’appétit pour la journée.
Dans la matinée :
- Bougez un peu : montez les escaliers, marchez 10 minutes, faites quelques squats en cuisinant. Le mouvement active les récepteurs de leptine.
- Respirez profondément 3 fois si vous sentez le stress monter.
Déjeuner équilibré :
- Protéines + légumes + glucides à index glycémique bas (quinoa, lentilles, patate douce).
- Évitez les sauces trop grasses et les produits transformés.
Après-midi :
- Évitez les grignotages. Si vous avez faim, optez pour une collation saine : poignée de noix, pomme avec purée d’amandes, yaourt nature.
- Hydratez-vous régulièrement.
Dîner léger et anti-fringales :
- Soupe maison + source de protéines légère (œuf dur, poisson) + légumes vapeur.
- Finissez le repas 2 à 3 heures avant le coucher pour laisser à la leptine le temps de circuler sans digestion perturbée.
Avant le coucher :
- Baissez la lumière.
- Évitez les écrans.
- Faites une respiration douce ou une visualisation positive.
- Essayez de vous coucher à une heure régulière.

9. Bonus : Et les autres hormones dans tout ça ?
Même si la leptine est la star de cet article, elle ne travaille pas seule. Elle fait partie d’un réseau hormonal complexe où chaque hormone influence l’autre. Comprendre ces interactions permet de mieux cibler vos efforts, surtout quand on est maman et qu’on vit parfois dans le chaos organisé du quotidien.
Ghréline – l’hormone de la faim
La ghréline est la sœur “inverse” de la leptine. Elle augmente l’appétit. Quand la leptine est basse ou mal entendue, la ghréline prend le dessus. Résultat : vous avez faim plus souvent, même si vous venez de manger. Le manque de sommeil fait grimper cette hormone.
Insuline – la gestion du sucre
Chaque fois que vous mangez sucré ou raffiné, l’insuline entre en action. Trop d’insuline trop souvent = stockage de graisses. Une insuline mal régulée favorise aussi la résistance à la leptine. D’où l’intérêt de manger des aliments à index glycémique bas et d’éviter les pics sucrés.
Cortisol – l’hormone du stress
Le cortisol peut être utile à court terme (en cas de danger), mais lorsqu’il est élevé en permanence, il dérègle tout : sommeil, appétit, inflammation, stockage… et il bloque littéralement l’action de la leptine. D’où l’importance de gérer le stress, même par de petites pauses dans la journée.
Oestrogènes et progestérone – les hormones féminines
Au fil du cycle menstruel, la leptine varie naturellement. En prémenstruel ou en post-partum, certaines femmes remarquent plus de fringales ou une plus grande fatigue. Ce n’est pas psychologique, c’est hormonal. Après 35 ans, la baisse des œstrogènes peut aussi affaiblir l’effet de la leptine.
En résumé :
Votre poids, votre énergie, vos fringales ne dépendent pas que de ce que vous mangez, mais de tout un équilibre hormonal. En prenant soin de la leptine, vous améliorez indirectement ces autres hormones… et vice versa. C’est un cercle vertueux.
10. Conclusion : Se reconnecter à soi, une bouchée à la fois
Quand on est maman, il est facile de s’oublier. On court, on gère, on rassure, on soigne… mais on oublie souvent de se nourrir vraiment, dans tous les sens du terme. Les fringales, la fatigue, la prise de poids ne sont pas des faiblesses. Ce sont des signaux du corps qui crie doucement (ou parfois très fort) qu’il a besoin de rééquilibre.
La leptine, cette hormone discrète mais puissante, vous donne une clé. Elle ne demande pas des sacrifices, mais de petits gestes pleins de sens : dormir un peu plus, manger en conscience, respirer, bouger quand on peut… Ce sont ces détails qui, mis bout à bout, réveillent votre énergie, calment vos envies, et vous reconnectent à vous-même.
Vous n’avez pas à être parfaite. Ni à tout réussir. Mais vous méritez de vous sentir bien dans votre corps, de retrouver votre énergie, et de faire la paix avec votre assiette. Pas pour perdre du poids à tout prix, mais pour être en forme, pour vos enfants… et surtout, pour vous.
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